Au moment où des scènes du film d'Éric Rohmer, Les nuits de la pleine lune, sont apparues, j'ai été au bord des larmes. Ce que ces personnages m’ont dit, avec encouragement, c’est qu’on est capable de ne plus avoir d’âge quand bien même le temps va passer si vite.
7,5/10 mieux que Le Souvenir I («l’année dernière au Souvenir I» :,) ) puisque la forme et le fond convergent. Bien joué le motif du miroir mais au début deux plans sur le lit de la mère me hantent : ils ne sont pas symétriques mais, disons, chiraux ? Cette étrangeté qui s’échappe du formalisme laisse entendre-t-elle une non-réconciliation